GÉNÉALOGIE
Vous souhaitez réaliser un arbre généalogique, pour vous même ou pour offrir à un de vos proches? Discutons-en!
UN PEU D’HISTOIRE
Un généalogiste à votre service !
Manque de temps, méconnaissance des archives, éloignement des lieux de consultations : autant d’obstacles à la poursuite de recherches généalogiques. Autant de bonnes raisons pour faire appel à un généalogiste professionnel.
Qu’est-ce que la généalogie ?
Il s’agit de la recherche de l’origine et de l’histoire familiale d’une personne. Mais la recherche historique peut également concerner une seule personne ou même un lieu.
Cette science existe depuis des siècles, elle permettait aux familles nobles de pouvoir justifier et prouver leur lignée de noblesse.
Avec la construction de l’État, les registres paroissiaux sont apparus dès la fin du XVème siècle. L’ordonnance de Villers-Cotterêts du 15 août 1539 a rendu obligatoire l’usage du français pour tous les actes écrits (en remplacement du Latin).
L’ordonnance de Blois de 1579 obligeait les prêtres de tenir des registres de baptêmes, mariages et sépultures. Dans le code Louis de 1667, l’ordonnance de Saint-Germain-en-Laye imposa la rédaction en double exemplaires des registres BMS (baptêmes, mariages, sépultures). Les actes de baptêmes devaient être signés par les parrains et marraines ; les actes de mariage par les conjoints et témoins ; les actes de sépultures par deux parents (ou amis présents). Les registres étaient la preuve principale de l’état-civil.
La Révolution française et les années qui suivirent allaient accélérer la structuration de l’état-civil moderne. L’année 1792 a vu la mise en place d’un passeport pour pouvoir franchir les frontières. L’état civil était sécularisé et ne sera plus tenu par le clergé : le décret du 20 septembre 1792 énonce la laïcisation de l’Etat. Ce sont les communes et les officiers d’état civil qui tenaient les registres. Désormais, l’état-civil en France comprenait trois actes : naissance, mariage et décès. Les réformes continuaient avec Napoléon Bonaparte qui confirma la sécularisation de l’état-civil et instaura les tables décennales et les recensements.
La fin du XIXème vit un durcissement du contrôle de l’État. Des documents officiels figeaient le nom. Le livret de famille était créé en 1877 et la carte d’identité en 1882. En marge de l’acte de naissance étaient mentionnés la date et lieu de mariage (1897), l’éventuel divorce (1932) et le décès (1945). La réforme la plus récente fut la mention du PACS en marge de l’acte de naissance.
NOS PRESTATIONS
• Recherche de documents spécifiques : acte de naissance, de mariage, de décès, acte notarié
• Recherche concernant le parcours d’un ancêtre Poilu pendant la Grande Guerre ou tout autre conflit.
• Biographie documentée réalisée avec recherches complètes des différents dossiers militaires.
• Biographie documentée réalisée avec concernant l’histoire « civile » plus générale d’une personne. Le souhait du client consiste ici à approfondir ses connaissances sur l’histoire et le parcours d’un ancêtre.
• À l’occasion d’une fête de famille, d’un mariage, d’un anniversaire voire même d’une naissance, le cadeau original demeure un mémoire généalogique:
relié à l’ancienne par un artisan Nîmois, l’ouvrage comprendra des biographies, des historiques, l’arbre généalogique et bien entendu tous les documents ayant servi pour élaborer la généalogie.
L’arbre généalogique peut mentionner uniquement les ancêtres en ligne directe du père et de la mère. Les frères et sœurs de chaque individu peuvent également apparaître dans la généalogie. L’arbre peut être également agnatique (qui remonte uniquement sur la branche paternelle), ou cognatique (étude sur la branche maternelle). Dans tous les cas, cela nécessite un travail de recherche et de synthèse d’archives très variées. C’est un travail à la carte, chaque mémoire généalogique est différent et s’élabore en fonction des désirs du client.